1. Le CAPRICORNE : Voyez ce que nous montre la nature en hiver : le froid a fait rentrer les gens dans leur chaumière, les animaux se tapissent dans leur terrier, la neige a recouvert les paysages de son blanc manteau, le feu crépite doucement dans les cheminées, la nuit est tombée et le silence règne... Voilà le décor planté de la saisonnalité hivernale du Capricorne. Une barrière de glace à l’extérieur, mais une chaleur profonde à l’intérieur. Un être secret pour les autres, mais foisonnant de pensées pour lui-même. Le système vital est au ralenti, oui, mais son hibernation prépare une grande longévité. Lent, patient et persévérant, le Capricorne est le signe des choses à lointaines échéances. L’endurance est un levier formidable pour voir grand : tout projet est donc inscrit dans la durée, et il n’y a pas d’impulsions irraisonnées ou farfelues. Au contraire, les questionnements le taraudent, les hypothèses sont posées sur la table et les données sont longuement analysées. Le but est de viser des situations stables. Il y a une sagesse typiquement Capricornienne, d’ailleurs une sagesse si précoce que l’on dit des natifs qu’ils connaissent la vieillesse avant de vivre leur jeunesse. C’est un signe qui commence dès le plus jeune âge par obéir à son sens du devoir et de la responsabilité, et qui réussira à se détendre plus facilement dans la seconde partie de sa vie.

2. Le VERSEAU : Placé après la phase la plus nocturne de l’hiver, le Verseau sent qu’enfin le jour gagne du terrain. Il est temps de commencer à préparer le retour à la vie qui viendra avec le Printemps, un peu plus tard... En attendant, c’est à l’intérieur qu’il faut élargir sa vision et commencer son évolution : « Devenir... plutôt que demeurer ! », semble-t-il vouloir dire avec force. D’ailleurs pour le Verseau, chacun est son propre soleil. Aucun dogme et aucune norme ne doivent venir contraindre la liberté personnelle. Concernant son étymologie de « verse-eau », symboliquement, il déverse le flot abondant de son amphore comme pour dissoudre tout ce qui fut complexe dans la cristallisation hivernale. Le Verseau va donc répandre l’eau, cette onde de vie dont les humains se nourriront pour évoluer. Toujours positionné en avance sur son Temps, il est justement le signe de la connaissance. Il est alors considéré comme un bienfaiteur de l’Humanité, qui a pour vocation d’aider ses semblables de façon désintéressée. Ouvert, idéaliste et progressiste, le Verseau explore la vie avec son caractère épris de liberté. Signe d’Air, communicant et porté vers les autres, il veut les aider à se libérer d’eux-même. C’est aussi un grand optimiste-créateur, qui aime avoir la tête dans les nuages, inspiré par ses idéaux. Mais attention : il y a du versatile dans le Verseau. Ainsi il lui faut du changement, quitte à opérer des revirements assez inattendus, comme lui comme pour son entourage. Peut-être parce qu’il veut plaire, être remarqué et être aimé, le Verseau a des côtés rebelle, impertinent, excentrique et non-conformiste. Véritable électron-libre, il a besoin de renverser l’ordre établi. Les natives et natifs du signe ne supportent ni les contraintes, ni l'obéissance à des règles, ni la routine. 

3. Le POISSON : Placé entre la fin de l’Hiver et le début du Printemps, le Poisson connait une atmosphère de mi-saison, brouillardeuse et sans contours. Le manteau neigeux va fondre et se diluer lui aussi, lentement, progressivement, immensément... Il y a dans cette nature saisonnière comme une poésie et un flou artistique qui habillent - ou déshabillent on ne sait plus - la psychologie de ce signe, imbibé et perméable. Cela fait astrologiquement des musiciens romantiques, des écrivains inspirés, mais aussi des addicts aux ivresses, des drogués aux paradis artificiels, ou encore des jouisseurs d’extases amorales. En harmonie avec l’univers, avec l’éternel, avec l’ineffable, le Poisson évolue dans la plénitude et l’infini. Habité par l’ailleurs, il semble toujours chercher à s’échapper des contingences matérielles ou limitantes. Rêver plutôt que penser, sentir plutôt qu’analyser, capter plutôt qu’étudier, il n’y a pas de loi intellectuelle ou rationnelle qui s’applique, pas de règle morale ou de restrictions sociétales qui prévalent non plus. Être Poisson c’est donc être dans le vaste champ des possibles. Autant dans les délices et la subtilité, que dans le diabolisme et la perversité ! Il n’y a pas de fausses postures de la vertu, du bien face au mal, du Saint face au Démiurge, car le natif vit de ses parts d’ombre comme de ses lueurs.

4. Le BÉLIER : C’est le début du Printemps, c’est le temps du renouveau et c’est enfin le retour à la vie qui définissent la saisonnalité du Bélier ! Il est le signe du commencement. D’où son impétuosité, sa juvénilité, sa fougue : il est capable de tout donner, d’aller au bout de ses forces, car il sait qu’elles sont une ressource inépuisable, comme le sont celles du Printemps pour la nature. D’autre part, parce qu’il est un signe dit « cardinal », le Bélier démarre un nouveau cycle dans le Zodiaque, ce qui explique que les natives et natifs aient comme stimulant le plus fort le moment d’engendrement de toute chose. Spontané, flamboyant, impulsif et même violent, le Bélier a vraiment dans sa psychologie ce « feu sacré » : il quitte la nuit de l’hiver pour redonner à la nature sa vive fécondité. Il y a donc à la fois du désir, une puissance créatrice phénoménale et l’envie de mordre la vie à pleines dents. La notion de dépassement de soi fait partie de cet incroyable ADN du Bélier : ce guerrier déterminé, ce combattant courageux. Toujours dans l’action, toujours dans la propulsion vers l’avant, il n’est pas du genre à tergiverser et tourner en rond. Si quelquefois il échoue, la seule parade envisagée s’avère évidente : il recommence. Retenez que c’est l’âge martien qui, durant l’enfance, a fixé sa personnalité en le dotant du besoin d’être toujours le premier.

5. Le TAUREAU : Le Printemps est la période où la nature se pare de ses plus belles couleurs, exhale d’agréables odeurs, propose de douces saveurs gustatives. Tous les sens sont alors en éveil et les êtres sont en constant émerveillement devant tant de beautés. Et voilà qui explique un formidable appétit de vie dans la psychologie du signe Taureau : envie de bâtir des projets, envie de construire une famille, envie d’amour, envie de sensualité, envie de partage... La femme Taureau pourra par exemple être définie comme florale, féconde, vénusienne et maternelle. Le Taureau est un être simple, calme, placide, accommodant et entier. Il manifeste des besoins que l’on peut qualifier de basiques et authentiques : aimer, manger, se prélasser, dormir, jouir. Un bel animal en somme ! Pour vous, du signe Taureau, la paix est une condition essentielle au bien-vivre. Vous entendez qu’elle soit une enveloppe douce qui entoure votre sphère personnelle. D’ailleurs, on reconnaît que vous dégagez de la sérénité, par votre regard, votre attitude, vos réactions... Votre paix est une valeur importante pour votre équilibre psychique, mais lorsqu’elle est malmenée, une colère rentrée peut exploser à tout moment.

6. Le GÉMEAUX : La saisonnalité du Gémeaux, qui le place dans le calendrier à la fin du Printemps, à un moment où l’atmosphère de l’Été est déjà presque installée dans la nature, offre à ce signe particulièrement bien né la psychologie d'un caractère joyeux et optimiste. Vous avez en conséquence une capacité d’émerveillement qui vous habite, qui vous fait rayonner, et que bien d’autres signes, eux hantés par un spleen vaguement cafardeux, vous envient ! C’est donc une première chose constituante de votre personnalité et un ensemble d’atouts sur lesquels vous pouvez compter : lorsque vous avez en vous du Gémeaux, que ce soit en signe solaire ou en ascendant, il est important de faire pétiller cette allégresse, cette liberté et cette légèreté qui sont votre raison vitale.

Il y a chez vous une jeunesse d’esprit, une fraîcheur, un côté « fun », qui vous viennent de cette fameuse éternelle adolescence que possède le Gémeaux. C’est comme un bain de jouvence, et une vraie chance, dont vous profiterez toute votre vie ! Il faut d’ailleurs s’arrêter un instant sur cette part adolescente, car elle induit parallèlement quelques effets pernicieux. Certaines personnes peuvent vous trouver puérile, immature, « fo-folle », ou un peu dispersée lorsqu’une mission importante vous est confiée. Alors pour atténuer ces perceptions négatives, travaillez éventuellement sur votre niveau de fiabilité. Réorganisez-vous, faites des listes, prenez des notes, posez des rituels. Toute qualité a son revers, et on gagne à améliorer sa personnalité en équilibrant le tout. Heureusement, vous vous tirez de bien des situations par votre humour. Vous avez le sens du jeu, vous aspirez à une vie ludique, distrayante, frivole, et là est votre charme. Voilà pourquoi il ne vous est pas facile de vous entendre avec quiconque se montre blasé, se prend au sérieux ou alourdit le poids de la vie.

7. Le CANCER : Les natives et natifs du signe Cancer voient le jour au début de la saison estivale, qui fait suite au temps des éclosions d’avril et mai. C’est une toute autre atmosphère qui règne maintenant : la nature est en apesanteur et marque une pause. Le soleil tape fort et la chaleur invite à la quiétude, à la passivité. Dans leur indolence et leur somnolence innées, les Cancériens aiment donc se laisser aller aux songes, à la rêverie, et cultivent un univers intérieur très poétique. Il faut ajouter que cette belle saison de l’été, c’est aussi celle qui vous rappelle mille souvenirs de vacances, d’instants de jeunesse heureuse au bord de la mer ou à courir dans les champs. Ce sont beaucoup d’images qui vous plongent dans la nostalgie et la mélancolie, marqueurs de votre psychologie.

L'enfance est un premier grand thème qui s’impose dans l’étude de la personnalité du Cancer. Cet âge de l’innocence, des câlins, des cadeaux de Noël, des chats, des chiens, des poneys, des crêpes et des jouets... il fut le paradis du Cancer. Et puis le temps a passé. Un peu, disons quelques années... Alors est venue l’adolescence, plus compliquée... Le manque de confiance en soi, la peur du regard des autres, une méfiance croissante à l’égard du monde, tout cela était difficile à appréhender. Mais quand même : les copains, les copines, les rires à gorge déployée, le plaisir de faire les fous... une part du rêve s’est heureusement poursuivie. Malgré quelques chagrins, bien sûr. Avec un attachement profond et sentimental aux lieux, aux régions, aux racines, aux souvenirs, vous auriez aimé que l’âge adulte, pour qu’il soit mieux vécu, soit un prolongement des rêves de cour d’école. Mais ce n’était pas tout-à-fait envisageable comme ça, et il a fallu traverser des fractures.

8. Le LION : A chaque saison de la nature correspond un signe astrologique, qui sera inévitablement marqué par les attributs de celle-ci. Nous sommes en Lion au cœur de l’été : les blés sont arrivés à maturité et les vergers donnent leurs fruits mûrs. C’est aussi le Feu de midi, celui d’un soleil à son Zénith, particulièrement brûlant et jaune. Ainsi est le Lion : un moment zodiacal intense, lumineux et solaire, lui conférant une personnalité accomplie, chaleureuse et généreuse. Dans cette heureuse plénitude, il a de l’assurance et s’affirme comme un modèle. C’est un être complet qui a un rang à tenir dans la société et qui veut le meilleur de la vie. Et, métaphore de saison oblige pour illustrer sa psychologie : il se battra sans relâche pour « se faire une place au soleil » ! Par sa générosité, son emphase et sa réussite, le Lion veut éblouir le monde ! Pour accomplir cet objectif primaire d’être aimé et d’aider son prochain, il suit donc une stratégie « innée » de rayonnement et se montrera toujours très soucieux de son image. Gloire, reconnaissance et honneur sont à la base de sa personnalité initiale. Profondément idéaliste, épris d’harmonie, il sait que le monde est imparfait, mais il investit pleinement sa mission de l’améliorer. Il a pour cela de nombreuses qualités, étant actif, passionné, enthousiaste, extraverti et expansif. Notons aussi que c’est d’abord par son imagination qu’il essaie de résoudre les problèmes, car il n’est pas conformiste et ne suit pas les normes établies. Ne s’enfermant pas dans des détails inutiles, difficultueux et mesquins, le Lion s’intéresse davantage aux opportunités et aux potentialités globales des choses. C’est un signe qui aime la synthèse, la simplification, l’instinct, et qui cherche à se projeter dans un futur avantageux. Il ne manquera ni de stratégies, ni de facultés d’adaptation lorsque des imprévus se présenteront. De grandes idées et de grandes ambitions sont là aussi pour nourrir votre besoin d’être continuellement occupé. L’ennui, l’inertie, l’inaction et l’inutilité sont fortement toxiques pour votre fonctionnement et votre personnalité si affirmée. On le constate donc, bien plus que tous les autres signes du Zodiaque, le Lion a la capacité à réaliser ses rêves. Ceci est une heureuse nouvelle. Vous avez toutes les chances de relever ces grands défis qui vous tiennent à cœur, de « jouer » de la vie, et d’accéder à des statuts élevés comme à ces valeurs de beauté ou de classe qui vous habitent.

9. La VIERGE : C’est la fin de la belle saison d'Été, le moment où la nature est arrivée à son accomplissement le plus parfait. La Vierge, elle, est l’héritière involontaire de cette plénitude, de ce cadeau de la Création. Mais elle est traversée d’angoisses par rapport à ce fardeau, car non seulement elle n’a pas participé aux phases de semences et d’éclosions, mais en plus elle va devoir restituer cette vie en suspend avant qu’elle ne commence à décliner... Car à bien y regarder : la terre est épuisée, les blés sont fauchés et bientôt les animaux regagneront l’étable. Alors pendant le court temps de cette arrière-saison, la mission de la Vierge sera de maintenir cet ordre parfait qui lui a été confié... avant de tout perdre - elle le sait bien - à l’arrivée des frimas, signes du changement de climat. Et voilà comment cette saisonnalité astrologique si particulière définit d’emblée la psychologie de ce signe : rétentrice, disciplinée, ritualisée, tenace. L’esprit initial de la Vierge est celui d’un système très complexe qui se pose beaucoup de questions. Sceptique, inquiète, susceptible et manquant d’assurance, elle doute de tout... Elle ne veut bien croire qu’aux faits mesurables et vérifiables. Pour cela elle se montre méthodique, cartésienne et perspicace : elle établit des plans, des listes, des programmes et des règles, qui ne laissent rien au hasard. Méticuleuse et précise, réglée comme une horloge suisse, la Vierge - signe des activités domestiques - tient à ce que chaque chose soit à sa place à la maison. Agencer, ranger, nettoyer, voilà comment elle s’enferme dans le travail, la besogne, les habitudes et les tâches quotidiennes, avec le perfectionnisme en guise d’inspecteur des travaux finis. Cependant, la maniaquerie qu’elle s’impose la stresse abominablement !

10. La BALANCE : Nous allons commencer par évoquer votre saison, qui définit cette indicible teinte dans laquelle vous évoluez. Il existe en effet, dans le système émotionnel de la Balance, une tendance de fond à la mélancolie qu’elle ne s’explique pas très bien. Pourtant ce sentiment mélancolique fait tache d’huile sur la personnalité et la psychologie, entraînant une perte d’énergie vitale, des doutes récurrents, des errements, des inhibitions, et même de la tristesse. Tout cela tient à votre saison automnale, une période où la nature se fane, où l’air se fait plus frais, où les gens se replient dans leur intériorité. C’est une extinction de vie qui correspond à l’équinoxe d’Automne, par opposition au jaillissement de vie du Printemps. En tant que signe cardinal (placé au début d’une saison), la Balance ressent un besoin d’évolution et de transformation. Elle se cherche encore, hésite, tergiverse, et pour cela papillonne d’une chose à une autre... Ce sont là des effets de votre complexité intérieure, de votre tendance à l’abstraction plutôt qu’aux décisions concrètes, de vos envies superficielles et volatiles... Le rythme de vie sur lequel fonctionne la Balance est volontairement tranquille, pondéré, et respire la quiétude. Elle a besoin de prendre son temps, de ne pas se stresser, ni d’être stressée par autrui. C’est une vraie ligne rouge à respecter.

11. Le SCORPION : C’est l’ange et le démon, le divin et le diabolique, la lumière et les ténèbres, la rédemption et la damnation, le meilleur et le pire... Signe de toutes les extrémités, signe enfermé dans sa composante manichéiste, le Scorpion effraie véritablement son monde... Sa réputation présumée est généralement confirmée par bien des expériences vécues. Et sa représentation, par un sombre arthropode à grandes pinces et à queue venimeuse, ayant l’habitude de fuir pour se cacher dans le noir, puis parfois piquer, renforce encore un préjugé terrifiant ! Mais d’où vient cette proximité avec le maléfique, la violence ou les Enfers, qui hante son psychisme ? C’est ce que nous allons étudier, tout en appréhendant la formidable énergie créative, sauvage et passionnelle des natifs. Mais disons-le d’emblée, comme un premier élément d’explication : le Scorpion a au plus profond de son inconscient l’infernale et implacable obsession que le vivant, de la simple cellule humaine jusqu’au grand Big Bang originel, n’est que métamorphoses, morts et transfigurations. C’est la fin de l’Automne et la période de la Toussaint, qui semble sonner le glas de la végétation... La nature se meurt, la nuit gagne du terrain, l’humidité s’installe, le vent souffle sur les arbres et les feuilles tombées au sol se décomposent... Comme le lui apprend la symbolique de sa saisonnalité, le Scorpion accompagne le vieillissement, le pourrissement et la mort de toute chose. Les lois fondamentales du vivant (destruction - création) habitent sa conscience et il en accepte le principe inexorable de transmutation. Dans le cycle du Zodiaque, après le soleil radieux du Lion, la rétention désespérément tentée par la Vierge, puis la lente extinction nostalgique en Balance, le Scorpion doit jouer son rôle de destruction finale du vivant. Et l’une de ses manifestations premières en est une tendance à l’autodestruction, que l’on peut retrouver dans sa personnalité quand des événements tournent mal.

12. Le SAGITTAIRE : Pour chaque signe du Zodiaque, la première des leçons que nous enseigne l’Astrologie concerne la saisonnalité. Car celle-ci, outre ses pouvoirs symboliques avérés, nous relie tous énergétiquement aux cycles de la nature. En Sagittaire, entre fin novembre et décembre, les belles couleurs automnales ont disparu, ainsi que leur jolie ambiance nostalgique. Le travail de pourrissement a été accompli, et c’est maintenant le moment où la nature se replie pour affronter l’Hiver. Elle a toutefois un défi : celui de conserver la vie, pour la faire renaître plus tard. Là est donc l’origine de la psychologie sagittairienne : voir loin, voir grand, voir fort, le tout avec optimisme et confiance en l’avenir. Mi-cheval, mi-homme, le centaure de l’Astrologie est bel et bien le Sagittaire. Il unit une part animale et instinctive avec l’esprit et la raison. Les attributs de ce centaure, un carquois rempli de flèches, représentent votre fonctionnement élémentaire. Pour chaque flèche il y a un objectif (ou cible) que vous vous fixez. Vous avez les capacités de viser loin et de réussir. D’ailleurs, vous voulez tout et rien n’est impossible à vos yeux ! Vous aimez ouvrir vos horizons et vous n’avez pas peur de tutoyer les utopies. Votre vie doit être lumineuse et vous seriez prêt à refaire le monde, fort de toutes les dimensions que vous sauriez lui donner. Votre positivisme est érigé en système de pensée, car il y a en vous un bouillonnement permanent et intense qui vous porte vers vos idéaux. Ne vous laissez donc jamais enfermer dans la mesquinerie ou la bassesse d'autrui. Suivez juste vos rêves, vos quêtes et vos missions...